Témoignages

 

A l’APECITA, en temps de confinement, le conseil emploi formation s’adapte.

 

 

Dans les Hauts de France, l’APECITA entretient la connivence avec les établissements de formation durant cette période de confinement.

Sandrine LELEU et Bertrand DELESALLE (Délégation APECITA Hauts de France) ont animé par visioconférence 5 formations (de 2 h chacune), auprès de tous les étudiants de 4e année d’UNILASALLE BEAUVAIS. Différents groupes par spécialités : Agroécologie, sols, eaux et territoires - Agroéquipements et nouvelles technologies / Agronomie et territoire - Consulting et pilotage d’entreprise - Enjeux et défis des productions animales - Entreprendre et développer une activité innovante en agriculture - Marketing et développement commercial - Organisation industrielle en industrie agroalimentaire.
20 à 30 étudiants dans chaque groupe ont pu suivre ces conférences consacrées au marché de l’emploi, à la connaissance des métiers et à leur projet professionnel au travers d’un outil permettant de cibler leurs « préférences dans le travail ».
L’APECITA a ainsi pu assurer ces actions et contribuer à assurer la continuité pédagogique de cet établissement d’enseignement supérieur.

En Auvergne-Rhône-Alpes, c’est dans l’urgence que le délégué régional APECITA, Jean Michel Sotton, a dû trouver une solution pour honorer ses engagements.
Plutôt que d’annuler une intervention sur « le marché de l’emploi et la poursuite d’études » auprès d’une classe de Licence de biochimie, il a préféré la réaliser depuis chez lui, avec, en ligne, chacun des 48 étudiants.
Grâce à l’application de visioconférences WebEx et la complicité d’un enseignant, la conférence a pu avoir lieu tout à fait normalement. Pour Jean Michel, le bilan est même très positif : « Les échanges ont été très bons, même meilleurs qu’en amphi. Les étudiants étaient peut-être plus à l’aise pour poser des questions » indique-t-il, avant d’ajouter « C’est probablement dû au côté impersonnel de ce type de relation ».
Avec 8 élèves-ingénieurs de l’ISARA de Lyon, pas question non plus de reporter les mini-formations destinées à les préparer à des entretiens avec d’éventuels futurs maitres d’apprentissage. Une demi-heure en ligne par étudiant a suffi et chacun est reparti (tout en restant chez lui bien sûr) armé pour ses entretiens, mais aussi « content d’avoir pu parler à quelqu’un ».
Fort de ces deux expériences, Jean Michel compte bien ne pas en rester là et poursuivre dans cette nouvelle façon de travailler, « même au-delà du confinement » précise-t-il.